Rencontres du sud, Les 21es Rencontres du Cinéma Sud-Américain à Marseille

Mis à jour le 9 avril 20 ans qui ont libéré des rêves et des réalités L'exclamation "Jallalla" comme marqueur des 20es Rencontres n'est pas anodine, à une époque où l'anglais occupe une place prépondérante dans la communication et où la question des peuples originaires en Amérique latine souligne l'injustice de la "civilisation moderne". Cette langue, et nous pouvons faire le parallèle avec les Rencontres du cinéma, est totalement étrangère aux grands intérêts économiques et à leur pouvoir monopolisateur au sein de l'industrie et de la distribution cinématographique.
Les premières années, les projections de cinéma sont essentiellement itinérantes. Il faut attendre pour que soit construit le premier cinéma.
Le voyage d'une vie - À la rencontre des propriétaires de \
Mais le grand bouleversement intervient enquand le parti nationaliste chinois KMT est battu par rencontres ottignies communistes.
A partir de se produisent des films de propagandes qui annoncent la reconquête de la Chine et qui promeuvent les succès économiques du KMT à Taiwan.
Ces films connaissent un immense succès à Taiwan. Ce cinéma en hoklo devient très populaire contrairement aux films de propagande en mandarin. Il veut créer un genre à la fois réaliste, mais également enthousiaste.
Les premiers films du genre sont réalisés par Lee Hsing, un immigré chinois, en cinémascope et en couleur. Ces films en mandarin remportent un véritable succès à Taiwan, en Asie du Sud et les échanges avec Hongkong se multiplient.
Pendant la décennie des années cohabitent ainsi deux systèmes de production : la production en mandarin et celle en hoklo.
Quant au cinéma en hoklo, ses budgets sont réduits mais se décline en tous genres avec une plus grande liberté de ton et de style. Cela fait complétement disparaître le cinéma en hoklo, déjà en déclin.
20 ans qui ont libéré des rêves et des réalités
Du côté du cinéma en mandarin plusieurs genres se partagent le marché : rencontres du sud cinéma de kungfu et de wuxia bien sûr, mais également le cinéma de propagande qui connaît une nouvelle vague au moment où la République de Chine perd sa légitimité sur la scène internationale. Apparait également un genre appelé three-rooms films.
Les deux autres genres remportent principalement du succès à Taiwan et dans les Chinatowns.
Puis le nouveau directeur Ming Chi décide de proposer à des débutants de réaliser des films à épisodes peu rencontres du sud.
Mais si les spectateurs étrangers apprécient ces films, le public taiwanais se lasse rapidement.
En contrepartie, les réalisateurs tendent à perdre leur espace de création et sont poussés à réaliser des films commerciaux. Pourtant, malgré cette pression commerciale constante des réalisateurs tentent de résister à cette pression et tentent de continuer à faire des films différents.